via Toutes les actualités : de Jacques Cheminat le 19/12/11
Plusieurs tendances qui ont commencé à poindre leur nez en 2010 se sont amplifiées en 2011. La première est relative aux failles de sécurité et aux méthodes. (...)

via Fubiz™ de Versa le 21/12/11

Découverte de Brice Portolano, ce jeune photographe français âgé de 20 ans vivant et travaillant à Paris. Il démontre l’étendue de son talent à travers ces différentes séries photographiques de très grande qualité. Un travail complet à découvrir dans la suite de l’article.



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via OCTO talks ! de Lina Benhalouche le 24/11/11

Mardi 15 novembre OCTO organisait un petit-déjeuner « Comment bâtir votre Cloud ? ».

Ce petit déjeuner a eu pour objectif de proposer des bonnes pratiques pour construire son Cloud.

Grâce à la vidéo de l’évènement disponible sur You Tube, vous pouvez découvrir les diverses alternatives exposées au Petit-Déjeuner :

  • Cloud interne ou externalisé
  • Choix des composants techniques par l’entreprise ou l’hébergeur
  • Technologies propriétaires ou Open Source

Chaque cas d’usage y est illustré par un retour d’expérience issu des projets Cloud OCTO Technology.

Vous y découvrirez quelques unes de nos recettes pour bâtir un Cloud qui garantisse l’élasticité, le paiement à la consommation et le Self Service…

Vous pouvez télécharger la présentation du Petit déjeuner au format PDF sur :

https://extranet.octo.com/oft/viewfile.php?fileid=d2a7b03e4816b83d59425a4713f8903d&dl=

Pour tout autre renseignement, contactez nous sur : contact@octo.com

 
Cliquez sur l’image pour lancer la vidéo

Suggestion d'articles :

  1. Petit-déjeuner : Comment bâtir votre Cloud ? 15 novembre
  2. Vidéo du petit-déjeuner « MapReduce -La révolution dans l’analyse des BigData » organisé par OCTO
  3. OCTO organise un petit-déjeuner Gestion des Identités le 27 janvier – Témoignage d’Air Liquide

via InternetActu.net de Xavier de la Porte le 18/12/11

La lecture de la semaine, il s’agit d’un article publié dans l’hebdomadaire britannique The Economist le 3 décembre et intitulé : “Le retour des ordinateurs humains”.

“C’était à la fin de l’été 1937 et la reprise post-crise était en train de caler. Le gouvernement américain avait de l’argent à dépenser pour la relance, mais, l’arrivée de l’hiver étant imminente, peu de projets de construction pouvaient être lancés. Il fut donc décidé de créer des postes d’employés de bureaux. L’un d’eux était situé à un étage d’un vieil et poussiéreux immeuble industriel new-yorkais, pas loin de Time square. Il était censé accueillir 300 ordinateurs – mais des êtres humains, pas des machines.

Ces ordinateurs produisaient les calculs nécessaires à la création de tableaux mathématiques, un outil de référence alors indispensable à beaucoup de scientifiques. Les calculs étaient complexes et ces ordinateurs, en grande partie recrutés dans les rangs du prolétariat new-yorkais, ne possédaient que les bases des mathématiques. Les mathématiciens en charge du projet travaillèrent donc à la division des calculs en suite d’opérations simples, dont l’accumulation finissait par donner les résultats recherchés.

Cette technique a été employée pendant des décennies en Amérique et en Europe. Le secteur de l’informatique humaine a même eu son propre journal et son propre syndicat. Ces bureaux calculaient des trajectoires balistiques, traitaient les statistiques du recensement et prévoyaient le déplacement des planètes. Ils ont continué d’exister jusque dans les années 60, quand les ordinateurs électroniques sont devenus suffisamment bon marché pour faire entrer cette activité dans l’Histoire.

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Image : Illustration provenant d’un article de Salon de 2006, inspirée par le Turc Mécanique originel, cet faux automate du XVIIIe siècle sensé joué aux échecs.

Jusqu’à récemment. Car depuis quelques années, l’informatique humaine est réapparue. La nouvelle génération des ordinateurs humains est en charge de nouvelles tâches, mais ils ressemblent à leurs prédécesseurs par bien des aspects. Ils sont répartis pour remplir des tâches que les ordinateurs ne peuvent pas remplir. Ils sont employés en grand nombre et sont organisés en chaines de travail rationalisées. Et, comme c’était le cas avant l’ère des ordinateurs électroniques, les fruits de leur travail sont combinés pour générer des résultats qui pourraient difficilement être produits autrement.

Dans une expérience qui prouve ce principe et a été réalisée cette année, les ordinateurs humains ont été utilisés pour créer les entrées d’une encyclopédie. Comme lorsqu’il s’agit de calculer, c’est un métier qui exige une qualification, mais une qualification qui peut être divisée en parties simples, comme la recherche initiale, l’écriture et l’édition. Aniket Kittur et ses collègues de l’Institut d’interaction homme-machine de la Carnegie Mellon University de Pittsburgh en Pennsylvanie ont créé un logiciel, CrowdForge, qui organise ce processus. Le logiciel distribue des tâches à des travailleurs en ligne grâce à Mechanical Turk, un site d’externalisation du travail appartenant à Amazon. Les travailleurs envoient en retour leur travail à CrowdForge, qui combine les retours et donne des résultats étonnamment lisibles. Plusieurs start-ups américaines fonctionnent sur ce principe. L’une d’elles, Casting Words, divise des fichiers audio en blocs de 5 minutes et les distribue à des gens pour qu’ils les retranscrivent. Chaque transcription est automatiquement envoyée à d’autres travailleurs pour vérification et quand elle considérée comme assez bonne, un ordinateur (électronique cette fois) assemble les segments et retourne le produit fini au client. Une autre start-up (Cloud Crowd) utilise le même système pour des traductions. Une dernière a recours à des travailleurs en ligne quand les ordinateurs électroniques échouent dans la reconnaissance d’objets photographiés sur iPhone.

Mais le meilleur reste à venir. Dans les bureaux de calcul d’antan, les chaînes étaient coordonnées par des cadres, souvent des mathématiciens, qui avaient travaillé à la manière de déconstruire les calculs complexes auxquels les ordinateurs humains allaient s’attaquer. Aujourd’hui ce sont des contremaîtres de silicium qui supervisent les ordinateurs humains. Ces algorithmes, qui coordonnent les travailleurs branchés sur ces plateformes de travail à la pièce en ligne, sont assez nouveaux et susceptibles de devenir de plus en plus sophistiqués. Les chercheurs sont par exemple en train de créer un logiciel qui permette plus facilement d’assigner les tâches aux travailleurs – ou, pour le dire autrement, de programmer les humains.

Eric Horvitz, du laboratoire de recherche de Microsoft à Redmond a réfléchi à la manière dont un tel logiciel pourrait être utilisé. Il imagine un avenir dans lequel des algorithmes coordonneraient une armée de travailleurs humains, de senseurs physiques et d’ordinateurs conventionnels. Dans le cas où un enfant disparaîtrait, par exemple, un algorithme pourrait assigner certains volontaires à la fonction de recherche, demander à d’autres d’examiner les images de vidéosurveillance. Le système irait aussi à la pêche dans les informations locales pour trouver des cas similaires. Ces éléments seraient combinés pour créer un cyborg détective.

Cela semble terriblement futuriste, et assez différent de la computation à base d’encre et de papier qui était celle d’antan. Mais David Alan Grier, un historien de l’informatique à l’université George Washington, pense que les architectes de ces nouveaux systèmes pourraient apprendre beaucoup en étudiant les anciens. Il pointe que Charles Babbage (Wikipédia), qui avait imaginé le premier ordinateur mécanique, avait beaucoup réfléchi à la manière de réduire les erreurs faites par les ordinateurs humains. Babbage a compris que le fait de dupliquer les taches et de comparer les résultats n’était pas suffisant, car des travailleurs différents ont tendance à faire les mêmes erreurs. La meilleure solution est de trouver différentes manières de faire le même calcul. Si deux méthodes donnent la même réponse, le résultat a plus de chance d’être le bon, a compris Babbage.

Il y a beaucoup d’autres choses intéressantes à trouver dans l’histoire, explique Grier. Les pionniers de l’informatique humaine ont aussi beaucoup écrit sur la meilleure manière de briser un calcul complexe en sous-tâches complètement indépendantes les unes les autres. Grier est souvent invité à des conférences sur l’informatique humaine, et il aime y inciter les chercheurs à aller se plonger dans les leçons oubliées, mais pertinentes des premiers chapitres de l’histoire de l’informatique.”

Voici pour ce texte de The Economist qui m’étonne sur un point : rien sur l’aliénation que cela représente de fournir un travail comme celui-là. Traduire un fragment de texte, transcrire un fragment de son, c’est une sorte de fordisme informatique dont on peut penser qu’il n’est pas sans conséquence. Cette manière dont le secteur tertiaire réinvente le prolétariat est toujours fascinante. Mais ça, The Economist s’en fout.

Xavier de la Porte

“Xavier de la Porte, producteur de l’émission Place de la Toile sur France Culture, réalise chaque semaine une intéressante lecture d’un article de l’actualité dans le cadre de son émission.

L’émission du 17 décembre 2011 était consacrée aux prêtres à l’heure du numérique avec le père Laby et l’abbé Seguin.

économie, économie de l'attention, complexité, management, Participation, pays en développement, pdlt, web 2.0

via Les dernières actualités de Futura-Sciences de webmaster@futura-sciences.com (Futura-Sciences) le 23/12/11
La firme Sony a invité des enfants à expérimenter une petite batterie dont l'énergie provient de morceaux de papier cartonné. L'électricité, qui anime un petit ventilateur, est générée par la décomposition des molécules de sucre qui sont stockées dans le carton. C'est la photosynthèse des plantes qui a inspiré les scientifiques.
C'est dans le cadre de l'Eco-Products 2011 qui se tenait la semaine dernière à Tokyo que Sony a invité des enfants à vivre une expérience étonnante. Ils ont...

via Les dernières actualités de Futura-Sciences de webmaster@futura-sciences.com (Futura-Sciences) le 23/12/11
Alors que certains se préparent à la fin de la Terre en 2012, les scientifiques voient évidemment beaucoup plus loin et travaillent même depuis des années sur un projet pharaonique : une horloge géante qui donnera l'heure et la position des planètes pendant dix mille ans. Juste avant de changer d'année, un petit rappel sur ce projet déjà médiatisé : L'Horloge du Long Maintenant.
Daniel Hillis n'est pas un inconnu. Cet informaticien était un grand ami de Richard Feynman...

via The Creators Project le 22/12/11

Le projet Hackpact, des mexicains de Realität, redéfinit les frontières de l’encodage numérique.

via CNIS mag de admin le 21/12/11
Après un « guide du bien savoir programmer sur plateforme mobile », l’Enisa s’attaque à un gros morceau : la cybersécurité des transports maritimes. Des transports maritimes, précise le rapport, qui constituent plus de la moitié des biens de consommation en Europe, ce qui en fait une infrastructure de communication et d’échange stratégique (Scada). Depuis [...]