via CG-blog de corey le 17/10/11

J’ai récemment fait des recherches sur les trompes-l’œil. Je suis tombé, logiquement, sur un site sur le street art que je ne connaissais pas : artisme.fr (avec une version anglophone)

Le contenu du site est de qualité avec des explications en survol des visuels. Pour les incultes comme moi, le sujet est bien présenté et abordable. C’est à noter ici car le street art peut parfois sembler être un milieu très fermé.

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L’initiative, qui se poursuit sur un blog.

Pour ceux qui sont comme moi : Graffiti : kesako ?

via Les dernières actualités de Futura-Sciences de webmaster@futura-sciences.com (Futura-Sciences) le 18/10/11
L'expansion accélérée de l'univers a été découverte au moyen des supernovae SN Ia, lesquelles servent aussi à étudier la nature de l'énergie noire causant cette expansion. De nouvelles observations apportent de l'eau au moulin de ceux qui pensent que les SN Ia sont en réalité des collisions de deux naines blanches et pas l'explosion d'une seule.
Le prix Nobel de physique 2011 récompense la découverte de l'expansion accélérée de l'univers. Elle s'est faite initialement en...

via Reflets de kitetoa le 18/10/11

Pour gagner des microsecondes sur leurs concurrents, les investisseurs manipuleraient les cours.

Nanex, une petite société américaine de diffusion de flux de données boursières a  jeté un pavé dans la mare il y a quelques mois. Elle aurait trouvé l’explication de la chute brutale (7% en quelques minutes) de Wall Street le 6 mai dernier. Pour elle le High Frequency Trading est bien responsable de ce qu’il est désormais convenu d’appeler le « flash crash ». Mieux, les acteurs du HFT se livreraient à une sale guerre, tentant de s’enfumer à coup de d’informations pourries générées uniquement dans le but de se gêner les uns, les autres.

En compilant ses propres données et en les analysant, elle a fait ressortir quelques incongruités pour le moins dérangeantes. Celles-ci confortent l’idée que quelques docteurs Mabuse sont en train de jouer avec le feu sur les marchés financiers.

Pour Nanex, le 6 mai, certaines places ont fourni jusqu’à 5000 cours pour un titre en une seule seconde. Sans aucune raison évidente. Du coup, Nanex s’interroge : il est fort possible, selon elle, qu’un acteur du HFT passe des milliers d’ordres d’achat ou de vente (qu’ils peut annuler en quelques microsecondes. Selon cet article de NextFinance, 99% des ordres via HFT sont annulés) pour inonder ses concurrent de données à faire traiter par les algorithmes. Etant à l’origine de ce flux, les siens n’ont pas à le traiter. Bilan ? L’acteur en question pourra gagner quelques microsecondes par rapport à ses concurrents qu’il aura ralentis.

Edit : j’ajoute cette vidéo signalée en commentaires par Reseaux Imaginaires :

 

 

Si les conclusions de Nanex devaient se vérifier, un véritable effondrement global des marchés est à prévoir dans un avenir plus ou moins proche. Et les grandes déclarations volontaristes des politiques, d’Obama à Sarkozy, en passant par les responsables réunis au sein du G20 n’y changeront strictement rien.

Détail amusant, la SEC a expliqué dans son rapport préliminaire que les autorités de marchés n’avaient pas les moyens de contrôler dans le détail les données liées aux cours et aux transactions. Trop de volume, trop de marchés interconnectés, trop de formats. Interrogé, le NYSE s’est d’ailleurs révélé incapable de fournir les données relatives à l’activité de Goldman Sachs le 6 mai : « ce ne sont pas des informations que l’on peut diffuser ». Peut, ou veut ?

Pourtant, Nanex semble avoir fait ce travail en quelques jours. A moins que cette entreprise raconte des histoires pour se faire de la publicité à peu de frais, il est permis de s’interroger sur les efforts de la SEC.

Si Nanex n’a effectivement pas accès à toutes les données existantes, l’examen de celles dont elle dispose lui a permis de tirer quelques conclusions pour le moins alarmantes et de donner quelques pistes de réflexion pour améliorer la situation. « Si nos recommandations étaient suivies, cela serait positif pour tout le monde, y compris pour nous, qui devons traiter toutes ces données erronées ». La SEC n’a pas réagi à la publication de Nanex. Etonnant non.

Pour nous, gens du réseau, ce que font les acteurs du HFT a un nom. C’est un DoS. Imaginez un DoS entre des machines qui sont situées en collocation au coeur des réseaux des marchés financiers. Ca vous parle ? Moi, ça me parle.

Dans notre monde, celui du réseau, les politiques pourchassent des gamins qui appuient sur le bouton d’un LOIC et les trainent devant un tribunal.

Dans le monde feutré de la finance, il ne se passe rien.

Ah, si, il se passe quelque chose. Le monde réel est siphonné par des gens qui, dans une tour de verre, créent des algorithmes fous qui se dossent entre eux.

Du coup, il y a 99% de la population qui descend dans la rue (et encore… principalement dans la partie riche du monde…). Une autre forme de DoS. Et quand ils décident de dosser Citibank… Ils finissent en garde à vue. A chacun son monde… A chacun ses règles.

 


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flattr this!

via Procrastinate hard! le 16/10/11


via Procrastinate hard! le 17/10/11


Subventionnons le stockage disséminé d'énergie !Jadis, toute innovation et développements initiaux en matière d'énergie à production centralisée ont bénéficié de subventions massives. C'est bien entendu le cas, entre autres, de l'énergie hydraulique, du nucléaire et du transport de l'électricité. C'est encore le cas de la recherche, par exemple sur la fusion avec ITER, le CERN, etc.

Les démantèlements ou la reconstructions de ces systèmes de productions bénéficieront inévitablement et à nouveau de financements publics, sans compter les coûts des catastrophes éventuelles.

L'énergie renouvelable disséminée, donc à production décentralisée, a pu aussi bénéficier timidement et récemment, de ce type de financement. Certains remettent fortement en cause ces subventions, en oubliant ce ce qui s'est passé et se passe toujours dans le domaine des énergies à production fortement centralisée.

D'une manière plus générale, le stockage de l'énergie, en dehors des STEP (Station de Transfert d'Energie par Pompage), n'a pas pu bénéficier d'autant de recherche, et de subvention par l'argent public, que les systèmes traditionnels de production d'énergie centralisée.

En France, le Ministère du Développement durable a finalement émis une AMI sur le stockage de l'énergie (voir d'autres articles traitant ce sujet-même sur ce forum).

Pourquoi ne pas aussi faire un premier pas pour favoriser le stockage journalier disséminé d'énergie (24h) en le subventionnant ? Est-ce trop complexe à l'égard des archaïsmes comptables pris en matière de facturation de l'énergie, notamment de l'électricité ?

Une première condition serait d'établir les règles de constructions et les normes de tels stockages. Mais quand on voit l'usine à gaz que certains super-doués administratifs sont capables de produire constamment, cela ne devrait pas poser trop de problèmes ! Quoique... pensez aux panneaux solaires photovoltaïques intégrés ou non en toiture !

Une deuxième condition serait que le Ministère des Finances soit disposé à développer une première phase de fiscalité encourageant le stockage disséminé temporaire et de courte durée (entre 24h et 1 semaine) de l'électricité provenant d'énergies renouvelables.

En effet, il n'est pas nécessaire d'avoir une approche manichéenne ou uniquement systématique sur le sujet puisque, grâce au pragmatisme passé du développement initial de l'industrie automobile, cette voie technologique a parfaitement été exploitée et développée pour faire démarrer les moteurs de tous nos véhicules automobiles... Notre industrie ne manque pas de fabricants de très bonnes batteries et l'innovation dans ce domaine est constante, notamment dans les filières NaS (*) et de la recherche Na-Ion, voire même du stockage cinétique s'il est réalisable immédiatement. Le prix de tels systèmes peut encore paraitre important, bien que, comme bien d'autres produits, ils sont conditionnés en France par des marges de distribution considérables, car ils sont bien moins chers ailleurs en Europe.

Le développement massif de stockages disséminés de faible puissance est l'équivalent énergétique de la réalisation d'un certain nombre de systèmes de stockages centralisés de grande puissance. On ne sait utiliser que l'hydraulique actuellement à cet effet (STEP), technologie qui présente des inconvénients importants à long terme en raison du vieillissement du béton des barrages ou de dépenses publiques considérables en cas de séismes. Les barrages alpins, par exemple, sont pour la plupart situés dans des zones à risque sismique.

Il est tout à fait possible d'encourager la réalisation de petits stockages de l'ordre de quelques dizaines de KWH chez les particuliers fournissant déjà des énergies renouvelables, notamment photovoltaïques, de même que leur ré-injection journalière dans le réseau durant les heures de pointe.

Une autre condition serait de légiférer ou de transmettre des recommandations dans ce sens aux distributeurs d'énergie, EDF / OA SOLAIRE entre autres, pour qu'ils adaptent les contrats d'obligation d'achat d'énergie renouvelable pendant les heures de pointe au travers de tels stockages. Il y aurait aussi quelques dispositifs à revoir concernant les diverses gammes de contrats conventionnés de fourniture d'électricité par tranches de puissance, puisque les nouveaux équipements locaux de contrôle de fourniture et d'utilisation d'énergie peuvent fournir de grosses puissances de pointe avec des charges continues réparties à faible puissance, donc au niveau du contrat conventionné le plus bas (3KW).

(*) voir http://www.ngk.co.jp/english/products/power/nas/index.html



via PC INpact de marc@pcinpact.com (Marc Rees) le 17/10/11
Le Cloud Computing est-il une menace pour les données personnelles ? Si oui, comment réglementer la manipulation dans les nuages des informations nominatives ? C'est à ces questions que veut répondre la CNIL.

via crowd42 de crowd42 le 08/06/11

S’il y avait une extension Firefox dont je peux pas m’en séparer ça serait Pentadactyl (à vrai dire Adblock plus aussi :p). Ceux qui ceux habituer travailler avec Vim vont certainement l’adopter si ce n’est déjà le cas. Il permet d’utiliser Firefox/Iceweasel avec des raccourcis et interface similaire à celle de Vim.

Pentadactyl est un fork de Vimperator (en fait c’est pas vraiment un fork mais c’est une histoire) mais quelques développeurs, ceux qui maintenaient réellement l’extension ont eu des divergences avec le créateur de l’extension et qui participait rarement au projet depuis quelques temps, alors ils ont décidé de se séparer du projet et créer le leur. Et il faut reconnaître qu’ils ont fait du bon boulot car Pentadactyl surclasse son ancêtre sur plusieurs niveau : configurabilité très poussé, stabilité, compatibilité avec les betas de Firefox, riche documentation….

Voici quelques features de pentadactyl :

  • Interface épuré ;
  • Commandes Ex pour quasi tous les tâche ;
  • Auto-complétion avec Tab très puissante pour commandes et recherche d’url dans l’historique de la navigation ;

Quelques exemple des raccourcis de Pentadactyl :

  • :o monsite.com va ouvrir monsite.com dans l’actuel onglet ;
  • :t moniste.com : ouvrira moniste.com dans un nouvel onglet ;
  • :d : fermera l’onglet actif ;
  • u : annulera l’action précédente ;
  • h/j/k/l : raccourcis de déplacement ;
  • gt : commande pour aller à l’onglet suivant ;
  • gT pour aller à l’onglet précedent ;
  • Ctrl-o : revenir en arrière dans l’historique de l’onglet courant ;
  • Ctrl-i : aller en avant dans l’historique de l’onglet courant :
  • y : copier l’url de l’onglet courant (sous GNU/Linux cela se fait pas défaut) ;
  • p : ouvrir l’url copié avec y dans l’onglet courant ;
  • P : comme p mais dans un nouvel onglet;
  • r : recharge la page courante ;

Je vous laisse découvrir toutes les raccourcis possible (et autres options) sur la page de documentation de pentadactyl et pour le télécharger la page du projet sur la forge.

via actualutte.info le 17/10/11
Ce samedi 15 octobre, ils étaient des millions à prendre la rue, non pas à l’appel de syndicats ou de partis politique, mais en toute indépendance. Ils répondaient à l’appel des indignés lancé quelques mois auparavant à une journée internationale de mobilisation. La réponse a été à la hauteur de toutes les espérances, 85 pays et un millier de villes concernées, une première dans toute l’histoire de l’humanité !