Si vous êtes un accro des programmes en ligne de commande, alors vous devrez essayer PPL. Sous ce nom barbare se cache un puissant et assez complet logiciel de carnet d’adresse. PPL est écrit en ...
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Si vous êtes un accro des programmes en ligne de commande, alors vous devrez essayer PPL. Sous ce nom barbare se cache un puissant et assez complet logiciel de carnet d’adresse. PPL est écrit en Ruby et s’appuie sur GIT pour offrir une solution décentralisée de la gestion de ses contacts. La seule fonctionnalité qui lui manque pour le moment, c’est la possibilité de le synchroniser avec d’autres services, comme, mais le développeur de PPL promet qu’elle verra le jour très bientôt.
Pour installer PPL, il faut passer par l’outil gem (rubugems) :
sudo gem install ppl
Pour créer un nouveau carnet d’adresse, exécutez la ligne de commande suivante :
ppl init ~/.Contacts
Maintenant pour ajouter un nouveau contact, il suffit d’enter la commande suivante :
cd Contacts
ppl add toto "toto michu"
Et pour ajouter plus de détails à votre entrée contact :
ppl email toto@totomail.com
ppl phone toto 0661111111
ppl org toto "toto SARL"
Finalement, et pour que vous n’ayez besoin de se déplacer dans le dossier Contacts pour saisir une nouvelle entrée, exécutez cette commande de ligne afin de pouvoir les ajouter depuis n’importe quel emplacement :
echo "[address book]" > ~/.pplconfig
echo path = "`pwd`" >> ~/.pplconfig
Enjoy it et merci @rattlingCan pour la découverte.
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Vous commencez à paniquer à la lecture des articles à propos de nouvelles lois, accords internationaux qui cherchent à museler Internet et instaurer la censure et des sociétés de surveillance ? Vous avez la flemme ...
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Vous commencez à paniquer à la lecture des articles à propos de nouvelles lois, accords internationaux qui cherchent à museler Internet et instaurer la censure et des sociétés de surveillance ? Vous avez la flemme de mettre vos mains dans le cambouis pour configurer i2p ou Tor ? Pas de souci, grâce à Tor Browser Bundle, un ensemble d’outils construit autour de Firefox et qui vous permet de disposer d’une solution clé en main, pour une navigation sécurisée et anonyme.
Il est possible de tirer profit de Tor Browser Bundle, sans devoir l’installer sur votre ordinateur en le lançant depuis une clé usb, très pratique si vous voulez vous connecter depuis une machine qui n’est pas la votre. Mais si vous préférez l’installer, Tor Browser Bundle est disponible sur Ubuntu grâce à un dépôt ppa :
sudo add-apt-repository ppa:upubuntu-com/tor
sudo apt-get update
sudo apt-get install tor-browser
Sur Archlinux, il est présent sur AUR :
yaourt -S tor-browser-en
Si vous voulez creuser un peu le sujet, je vous recommande la lecture cette page sur le wiki ubuntu-fr et bien évidemment la doc officielle.
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Il y a plus d’un an, je découvrais pour la première fois SparkleShare, un logiciel libre de travail collaboratif qui permet la synchronisation instantanée des dossiers et des fichiers. En d’autres mots, c’est l’équivalent libre ...
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Il y a plus d’un an, je découvrais pour la première fois SparkleShare, un logiciel libre de travail collaboratif qui permet la synchronisation instantanée des dossiers et des fichiers. En d’autres mots, c’est l’équivalent libre de Dropbox, sauf que vos données sont hébergées sur votre propre serveur ou sur un service tiers, dont vous avez une totale confiance quant au traitement qu’il réserve à vos données privées (Gitorious, Bitbucket ou le serveur de votre pote par exemple).
Concrètement, un dossier SparkleShare sera créé dans votre répertoire personnel, tous les dossiers (projets) que vous placerez dans ce dossier, seront automatiquement synchronisés avec les autres instances (ordinateurs, utilisateurs) connectées aux mêmes projets. Vous avez aussi une icône dans la zone de notification, qui vous préviendra à chaque fois qu’une modification est apportée à un projet.
Un autre point fort de SparkleShare, c’est qu’il permet de synchroniser différents projets avec différents serveurs, comme le souligne Hylke Bons dans son billet de blog qui annonçait la sortie de la version 1.0 :
For example, I use this to sync some public projects with Github, some personal documents with my own private VPS and work stuff with a host on the intranet.
Bref, si vous n’avez pas encore essayé SparkleShare, il est peut-être temps que vous le faites, d’autant plus que c’est un outil multi-plateforme, qui en plus d’une version GNU/Linux, il est disponible pour Windows et Mac OS
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Après le supercalculateur basé sur Raspberry PI, le serveur web, le média center, un réfrigérateur pour la fermentation de la bière… etc, on a réussi à trouver un nouveau usage à l’ordinateur monocarte : faire ...
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Après le supercalculateur basé sur Raspberry PI, le serveur web, le média center, un réfrigérateur pour la fermentation de la bière… etc, on a réussi à trouver un nouveau usage à l’ordinateur monocarte : faire de lui un capteur qui surveille la qualité de l’air !
En effet, Gasser – le nom du projet- permet de contrôler la qualité de l’air dans une zone donnée, grâce à des capteurs Alphasense B4-series. Les données collectées sont ensuite envoyées à l’aide d’un modem 3G (Citoyens capteurs, l’association qui est derrière Gasser, utilise un Huawei E220, mais je suppose que tout autre modem fera l’affaire, idem pour les capteurs). Elles est possible aussi de les sauvegarder grâce à la carte SD qui équipe les modems 3G. Le tout relié à un Raspberry PI.
Une initiative qui devrait inspirer nos associations marocains de protection de l’environnement.
source et site du projet & de l’asso Respire qui a financé le projet
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Voilà un petit billet qui devrait plaire aux plus nostalgiques de vous (pour ne pas dire les vieux), qui ont eu la chance de posséder ou de toucher des Amiga. Il s’agit de AmiWM, un ...
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Voilà un petit billet qui devrait plaire aux plus nostalgiques de vous (pour ne pas dire les vieux), qui ont eu la chance de posséder ou de toucher des Amiga. Il s’agit de AmiWM, un gestionnaire de fenêtres qui émule l’apparence de l’Amiga Workbench. Autant vous prévenir tout de suite, même si AmiWM est fonctionnel – en plus d’être léger et très minimaliste-, je ne suis pas certain que vous allez en faire votre WM au quotidien. D’ailleurs, je doute que c’était l’objectif de développeurs.
AmiWM est disponible sur les dépôts de Debian, Ubuntu et Archlinux (je n’ai pas cherché pour les autres distros, mais ça doit être le cas pour eux aussi). Pour l’installer, il suffit d’exécuter la ligne de commande suivante :
yaourt -S amiwm
sudo apt-get install amiwm
Et pour configurer amiwm, éditez le fichier ~/.amiwmrc, vous trouvez facilement sur le web quelques exemples de ce fichier.
Sur cette page, vous trouverez une galerie de screenshots assez impressionnante et qui me fait douter de ma première confirmation !
Bon geekage
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Depuis quelques jours, j’ai changé la config de mon bureau sous openbox, et je dois vous dire que je suis assez fier du résultat, à tel point que j’ai décidé le partager avec vous. Bon, ...
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Depuis quelques jours, j’ai changé la config de mon bureau sous openbox, et je dois vous dire que je suis assez fier du résultat, à tel point que j’ai décidé le partager avec vous. Bon, pour être franc, je n’ai pas sommeil et je n’ai rien trouvé de mieux à faire que d’écrire ce billet !
Donc, je ne vais pas vous parler de openbox ni de comment le configurer, d’autre l’ont fait mieux que je peux le faire, je vais me contenter de partager les éléments qui constituent mon bureau (thème GTK et openbox, conky, icônes…). Si vous n’avez jamais touché à ce gestionnaire de fenêtres, je vous recommande la lecture d’un de ces tutoriaux https://wiki.archlinux.org/index.php/Openbox (en anglais mais très complet) et http://doc.ubuntu-fr.org/openbox.
Commençons par le panneau, avant de changer de config, j’étais un fan de tint2 (et je continue de l’être d’ailleurs), mais j’ai décidé de donner sa chance à fbpanel, qui m’a vite séduit. Même s’il occupe quelque mo de ram de plus que tint2, il reste très léger et facile à personnaliser, notamment grâce aux nombreux thème qu’on peut trouver ainsi que les plugins.
Pour l’installer rien de plus simple, exécutez une de ces lignes de commande selon votre distribution :
yaourt -S fbpanel
sudo apt-get install fbpanel
yum install fbpanel
Quant au thème, il s’agit de Mac OS X que je ai récupéré sur le site box-look. Une fois le thème est téléchargé, décompresser l’archive dans ~/.fbpanel et exécutez cette commande pour le lancer :
fbpnal -p osx
Le thème GTK utilisé est Gnome- cupertino, qui est pour moi le meilleur thème que j’ai pu voir. vous pouvez soit le télécharger depuis Gnome-look, ou l’installer directement depuis les dépôts de votre distro (je n’ai pas vérifié pour les autres mais pour arch il est présent dans AUR).
Le thème des icônes est Faience Azur, là aussi vous pouvez soit le télécharger sur devianart ou l’installer depuis les dépôts.
Pour le thème openbox, mon choix s’est porté sur WoW-Light :
Enfin, le fond d’écran je l’ai piqué lui aussi sur devianart.
MÀJ : j’ai oublié de vous dire que le conky utilisé est celui dont je vous ai parlé dans cet article.
Si vous avez des questions, n’hésitez pas à les poser
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Que pensez-vous d’une install party dans les locaux de Microsoft ? D’une conférence sur la lutte contre les paradis fiscaux au Luxembourg ? Ça vous parait absurde ce que je raconte ? Et pourtant, dans ...
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Que pensez-vous d’une install party dans les locaux de Microsoft ? D’une conférence sur la lutte contre les paradis fiscaux au Luxembourg ? Ça vous parait absurde ce que je raconte ? Et pourtant, dans une certaine mesure, c’est ce qui vient de se produire avec le Congrès mondial sur les technologies de l’information (WCIT) qui se tient à Dubaï dans les Émirats Arabes Unis. Organiser une conférence dans un bled qui a légiféré les pires lois liberticides sur Internet (le chiffrement des messages est interdit par exemple), c’est limite de la provocation.
Donc déjà, rien qu’avec le pays hôte de ce sommet, il y avait de quoi me faire craindre le pire, mais quand j’ai lu dans un article de ZDnet, que la Russie, la Chine, l’Algérie, l’Égypte, l’Arabie Saoudite, le Soudan et les Émirats Arabes, que des pays qui promeuvent les droits de l’homme et la liberté d’expression hein, ont soumis une nouvelle proposition concernant la révision du Règlement des Télécommunications Internationales, le traité qui définit comment doivent fonctionner les réseaux nationaux et internationaux, je me suis dit que ça y est, cette fois on est vraiment foutu. En gros ce qu’ils souhaitent,c’est de mettre Internet sous le contrôle des gouvernements.
Si certains d’entre vous, ne voient pas où est le problème, voilà quelques éléments qui les aideront à comprendre le danger que ça représente. Tout d’abord, ce sommet se tient dans une opacité totale (ainsi que les réunions de préparation qui l’ont précédé), et bien évidemment aucun document n’est rendu public. Des manières qui rappellent étrangement ACTA.
Le deuxième point alarmant, c’est que ce congrès mondial exclut tous les autres acteurs d’Internet : associations et ONG de défense des réseaux et des libertés numériques style EFF, les entreprises du secteur privé… etc. Mais le plus inquiétant, c’est sans aucun doute les pays dont émanent cette proposition, et quand on sait les événements qui les ont secoué ces deux dernières années (printemps arabe, manifestations réprimées au Tibet…), on devine facilement leurs intentions, même s’ils essaient de les dissimuler derrière des motifs comme la lutte anti-terroriste, pédophilie ou encore la protection des droits d’auteurs, comme en atteste l’article 8A.4 :
les États ne doivent pas restreindre l’accès à Internet sauf dans les cas où la souveraineté nationale, la sécurité nationale, l’intégrité territoriale pouvaient être remise en cause
Bref, on est dans un deep shit.
source :
http://www.zdnet.com/wcit-12-leak-shows-russia-china-others-seek-to-define-government-controlled-internet-7000008509/ http://arstechnica.com/tech-policy/2012/12/authoritarian-regimes-push-for-larger-itu-role-in-dns-system/ http://www.france24.com/fr/20121203-wcit-dubai-internet-regulation-irt-censure-google-mozilla-lobbying-etat-sommet-mondial-telecommunication crédit photo
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Si vous créez un sujet sur un forum pour demander conseil sur le meilleur dock disponible, il est plus que probable que les seules propositions que vous allez recevoir sont Cairo Dock et Avant Window ...
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Si vous créez un sujet sur un forum pour demander conseil sur le meilleur dock disponible, il est plus que probable que les seules propositions que vous allez recevoir sont Cairo Dock et Avant Window Navigator. Je ne vous mentirai pas non plus, ce sont les deux que je connaissais jusqu’à il y a quelques jours, quand j’ai fouillé dans les archives du projet Elementary OS et j’ai découvert Plank, qui au départ était censé intégré la distribution Elementary OS Luna, mais les développeurs ont choisi de réécrire un fork en vala.
Plank est un dock très léger et minimaliste, au contraire des deux premiers que j’ai cité et qui sont devenu des vraies usines à gaz, surtout cairo dock. Ne s’attendez donc pas à voir des plugins/widgets que vous pouvez installer, ou à une interface de configuration où vous allez vous perdre dans ses options, tout se fait depuis les fichiers de config, comme au bon vieux temps.
Pour installer Plank dans Ubuntu, ajouter le dépôt ppa suivant :
sudo apt-add-repository ppa:ricotz/docky
sudo apt-get update
sudo apt-get install plank
Sur ArchLinux, Plank est disponible dans le dépôt AUR :
yaourt -S plank
Quelques thèmes sont disponibles sur devianart, tout ce que vous avez à faire c’est de télécharger l’archive de votre choix et de l’extraire dans le dossier ~/.config/plank
. Le fichier ~/.config/plané/dock1/settings permet quant à lui de configurer l’apparence du dock : position sur l’écran, taille des icônes… etc, il est bien commenté et vous n’aurez aucun mal à faire joujou avec les options.
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Il y a quelques jours, j’ai publié un billet à propos du rétropédalage des développeurs de Gnome sur leur décision d’abandonner le mode Fallback. Ils avaient en effet décidé, dans un souci de calmer la ...
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Il y a quelques jours, j’ai publié un billet à propos du rétropédalage des développeurs de Gnome sur leur décision d’abandonner le mode Fallback. Ils avaient en effet décidé, dans un souci de calmer la colère de certains utilisateurs, de supporter le développement de quelques extensions gnome shell, qui permettent d’avoir une interface similaire à celle de Gnome 2.
Cependant, on ignorait comment on pourrait accéder à Gnome Legacy (c’est le nom donné à cette UI), les développeurs vont-ils s’inspirer de l’ancienne méthode ? c’est à dire un bouton dans gnome tweak tool qui permet de basculer entre les deux modes ? Et bien non, ce sera plus classique comme méthode (et plus pratique aussi). Comme l’a expliqué Matthias Clasen sur son blog, Gnome Legacy sera accessible depuis votre gestionnaire de connexion.
…In bug 689304, Florian has added support for external modes. And in bug 689285, Debarshi has added the necessary glue to install a desktop file that runs GNOME shell in classic mode and a session definition that includes this modified shell. The upshot is that we now have a ‘GNOME Legacy’ session appear in the session chooser in the login screen
Si vous souhaitez en savoir plus sur les autres nouveautés de Gnome 3.7, elles sont détaillées dans le billet de Clasen
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Si vous tenez un blog, vous savez certainement qu’on est jamais à l’abri d’un petit malin, qui a trop regardé le film Hacker, et qui vient tester sur votre site des scripts qu’il a trouvé ...
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Si vous tenez un blog, vous savez certainement qu’on est jamais à l’abri d’un petit malin, qui a trop regardé le film Hacker, et qui vient tester sur votre site des scripts qu’il a trouvé sur le web. C’est la raison pour laquelle j’accorde une attention particulière à la sécurité de mon blog : audit des plugins et thèmes que j’installe, mises à jour appliquées dès qu’elles sont disponibles et surtout des sauvegardes quotidiennes.
En plus de ces mesures, j’ai installé quelques plugins qui améliorent la sécurité du blog, comme WSD Security,Login LockDown ou Duo Two-Factor Authentiication que je viens tout juste de découvrir. Ce plugin implémente la méthode de la double authentification, qui a été introduite pour la première fois par Google (rectifiez moi si j’ai écrit une bêtise) dans ses nombreux services.
Pour installer Duo Two-Factor Athentication, cliquez sur l’entrée « Ajouter » dans le menu « Extensions », cherchez, installer et activer l’extension comme vous le faites habituellement. Rendez-vous ensuite sur le site de Duo Two-Factor Authentication et créez votre compte. En cliquant sur lien de confirmation qui vous a été envoyé dans votre boite email, vous serez invité à remplir un formulaire avec vos informations, il est important que vous respectez le format proposé pour le champ réservé à votre N° de Tél. Puis choisissez la méthode que vous préférez pour recevoir le code de login (sms ou appel téléphonique).
Maintenant, depuis l’interface d’administration cliquez sur « Integration » -> « new integration », dans le menu déroulant « Integration type », choisissez « WordPress » ainsi qu’un nom pour le distinguer et cliquez sur « add integration ». Revenez au dashboard de votre blog et allez la page de configuration du plugin Duo Two-Factor Authentication :
Copiez/coller les codes « integration key », « secret key » et « API hostname » et sauvegardez. La prochaine fois que vous essayeriez de vous connecter à l’interface d’administration de votre blog, et une fois que vous aurez saisi votre pseudo et mot de passe sur l’écran de login habituel, vous allez devoir ajouter un numéro de tél, sur lequel vous recevrez un sms qui contiendra un code de vérification, saisissez ce dernier et cliquer sur continue.
Prochaine étape -et rassurez vous la dernière- est de récupérer le passcode, vous allez en recevoir 10, à chaque fois que vous allez vous connecter à votre interface d’administration, vous serez invité à en saisir un.
Enjoy it
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Quand vous désinstallez un logiciel, il se peut que ce dernier laisse trainer derrière lui -dans votre répertoire $HOME- son fichier de configuration, ce n’est pas vraiment grand chose, vu que dans 99,99 % des ...
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Quand vous désinstallez un logiciel, il se peut que ce dernier laisse trainer derrière lui -dans votre répertoire $HOME- son fichier de configuration, ce n’est pas vraiment grand chose, vu que dans 99,99 % des cas sa taille ne dépasse pas quelques centaines de ko. Mais il est toujours plus agréable de garder un répertoire personnel propre et avec le moins de fichiers inutiles possible.
Mundus est une petite application qui permet d’effectuer cette tâche, elle supprime définitivement les fichiers de configuration laissés par les logiciels désinstallés. Et pour vous éviter une mini-catastrophe suite à la suppression du mauvais fichier de config, mundus intègre une fonctionnalité qui permet de sauvegarder ces fichiers avant de faire le grand ménage.
Pour l’installer sous Ubuntu, ajouter le dépôt PPA suivant :
sudo add-apt-repository ppa:sebikul/mundus-stable
sudo apt-get update
sudo apt-get install mundus
Mundus est disponible aussi sur Arch Linux (est-ce une surprise ?) grâce au dépôt AUR :
yaourt -S mundu
s
Pour Debian et Fedora, l’installation se fait manuellement en récupérant le paquet mundus depuis cette page. Ensuite, exécutez la ligne de commande suivante :
Pour Debian:
dpkg -i mundus_2.2.0-1_all.deb
Pour Fedora :
rpm -i mundus-2.2.0-1.noarch.rpm
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Parmi les idées reçues concernant le logiciel libre, c’est que pour aider le développement de ce dernier, il faut forcément être un codeur, ou bien supporter la communauté financièrement en envoyant des dons. C’est bien ...
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Parmi les idées reçues concernant le logiciel libre, c’est que pour aider le développement de ce dernier, il faut forcément être un codeur, ou bien supporter la communauté financièrement en envoyant des dons. C’est bien évidemment archi-faux, il y a divers façons d’aide qu’on peut apporter aux logiciels libres : rédiger/corriger la documentation, en les traduisant, ou en les promouvant via des billets de blog ou sur les réseaux sociaux…
Pour vous donner un exemple concret et qui en plus ne vous prendra pas beaucoup de temps, de temps à autre, la Free software Foundation lance un appel à contribution, pour enrichir son annuaire -directory.fsf.org- qui recense les logiciels libres, en ajoutant des nouveaux, mettant à jour les fiches de ceux qui existent déjà…etc. Le prochain rendez-vous a été fixé pour le 07 décembre à partir de 19h00 jusqu’à 22h00.
Vous trouverez sur cette page un guide qui vous montrera comment procéder, et si vous le désirez, vous pouvez rejoindre la crème de la crème des libristes sur le salon #fsf présent sur réseau IRC Freenode.
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Quand on est soucieux de la protection de sa vie privée, sa sécurité et de garder un semblant d’anonymat sur Internet, le temps qu’on dépense à configurer sa distribution et les logiciels qu’on utilise au ...
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Quand on est soucieux de la protection de sa vie privée, sa sécurité et de garder un semblant d’anonymat sur Internet, le temps qu’on dépense à configurer sa distribution et les logiciels qu’on utilise au quotidien -navigateur web, client de messagerie et chat… etc- n’a pas vraiment d’importance. Malheureusement, même en ayant un ordinateur portable, il arrive souvent qu’on doit se connecter depuis une machine qui n’est pas la notre, que ce soit au boulot, dans un cybercafé, chez un pote…etc.
Dans des moments pareils, avoir dans sa poche une clé usb qui permet de booter sur distribution pré-configuré, pour vous offrir une meilleure protection sur Internet, n’est guère un luxe. Et c’est pour quoi j’ai pensé que vous serez intéressé par Tails, une distribution pensée pour les paranos que nous sommes.
The Amnesic Incognito Live System (Tails pour les intimes) est une distribution basée sur Debian stable, ce qui est déjà en soi un gage de sérieux de la part de ses développeurs, son créneau est : vie privée et anonymat. Elle embarque par défaut de nombreux outils qui vous tiendront loin des regards de Big Brother. Ainsi, tout le trafic réseau passe par Tor qui est pré-installé, Iceweasel vient avec les extensions Noscript et HTTPS Everywhere. Vous voulez chatter avec vos collègues d’Al Qaida ou de l’IRA en toute discrétion ? Pas de souci, vous pouvez faire confiance à Pidgin et son plugin OTR, et pour lire/envoyer vos email, vous avez Claws Mail qui utilise GnuPG.
Et comme sur tout les LiveCD ou LiveUSB, Tails n’utilise pas le disque dur mais la mémoire RAM, cette dernière est physiquement effacée à l’extinction de l’ordinateur, pour parer à toute éventualité d’attaque de type cold-boot.
Ce n’est qu’un petit aperçu de ce que peut vous offrir Tails en matière de sécurité, vous pouvez en savoir plus en se rendant sur cette page.
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Quand un utilisateur de Ubuntu souhaite avoir les dernières versions des logiciels qu’il utilise, il n’a pas trente six solutions, soit il les compile depuis les sources, soit il cherche un dépôt ppa qui les ...
Cet article Désactiver un dépôt PPA et rétrograder les paquets qu’il contient avec PPA-Purge est apparu en premier sur crowd42.
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Quand un utilisateur de Ubuntu souhaite avoir les dernières versions des logiciels qu’il utilise, il n’a pas trente six solutions, soit il les compile depuis les sources, soit il cherche un dépôt ppa qui les propose. Cependant, quand on use trop des ppa, il peut arriver que votre système devienne instable, ou du moins, les applications installées depuis ces dépôts. C’est rare, mais ça arrive.
Mais ce n’est pas grave, car vous pouvez utiliser PPA-Purge, ce petit soft, permet tout simplement de rétrograder (downgrade) les paquets d’un dépôt ppa en remettant les versions des dépôts officiels et désactive le ppa en question.
Pour installer PPA-Purge, exécutez cette ligne de commande :
sudo apt-get install ppa-purge
Son utilisation est très facile, trouvez le ppa que vous voulez désactiver, ensuite entrez la commande suivante :
sudo ppa-purge ppa:votreppa/ppa
Et c’est tout
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Bien que les développeurs de la Fondation Mozilla font un travail remarquable, pour assurer une meilleure intégration de Firefox dans l’environnement de bureau Gnome, le faible nombre de feedback qu’ils reçoivent de la part des bêta-testeurs ...
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Bien que les développeurs de la Fondation Mozilla font un travail remarquable, pour assurer une meilleure intégration de Firefox dans l’environnement de bureau Gnome, le faible nombre de feedback qu’ils reçoivent de la part des bêta-testeurs font que l’intégration n’est pas aussi réussi que dans Windows. Heureusement, on peut puiser dans les extensions et thèmes de Firefox pour résoudre ça.
Tout ce que vous avez à faire, c’est de installer les deux extensions et le thème qui composent la collection « GNOME 3 integration » :
Enjoy it
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Si vous suivez l’actualité de Gnome, vous êtes sûrement au courant que les développeurs ont décidé de laisser tomber le mode Fallback dès la version 3.8. Ce mode permettait pour ceux qui le souhaitaient, d’avoir ...
Cet article Le projet Gnome lâche le mode fallback, et annonce qu’il va supporter des extensions qui produisent le même résultat est apparu en premier sur crowd42.
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Si vous suivez l’actualité de Gnome, vous êtes sûrement au courant que les développeurs ont décidé de laisser tomber le mode Fallback dès la version 3.8. Ce mode permettait pour ceux qui le souhaitaient, d’avoir une interface semblable à celle de Gnome 2. Cette décision -bien évidemment- n’a pas fait l’unanimité au sein de la communauté, plusieurs voix se sont levées pour la décrier (taper Gnome to drop fallback mode dans un moteur de recherche pour avoir un aperçu).
Pourtant, une fois n’est pas coutume, je comprends leurs choix et je suis d’accord avec eux, maintenir une interface avec une ergonomie à l’opposé de celle de Gnome Shell est une vraie perte de temps, notamment lorsqu’on sait que le projet manque cruellement de développeurs.
Et pour calmer les utilisateurs mécontents, l’équipe Gnome a annoncé qu’elle allait compiler une liste d’extensions Gnome Shell, et qui vont être supportées par l’équipe, afin d’assurer leurs compatibilités avec les prochaines versions de Gnome.
As part of the planning for the DropOrFixFallbackMode feature, we’ve decided that we will compile a list of supported gnome-shell extensions. This will be a small list, focused on just bringing back some central ‘classic’ UX elements: classic alt tab, task bar, min/max buttons, main menu. To ensure that these extensions keep working, we will release them as a tarball, just like any other module. Giovanni already added an –enable- extensions=classic-mode configure option to the gnome-shell-extensions repository, which we will use for this work.
Une nouvelle qui devrait mettre tout le monde d’accord.
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]]>En attendant de voir débarquer sur le marché les premiers téléphones portables équipés de WebOS, le système d’exploitation pour mobile rendu libre par HP, les développeurs du Phoenix International Communications ont publié une vidéo proof of ...
Cet article Vidéo proof of concept d’une application android qui fait tourner WebOS est apparu en premier sur crowd42.
]]>En attendant de voir débarquer sur le marché les premiers téléphones portables équipés de WebOS, le système d’exploitation pour mobile rendu libre par HP, les développeurs du Phoenix International Communications ont publié une vidéo proof of concept, d’une application android qui fait tourner WebOS sur un Nexus S 4G. L’application est encore en stade pre-alpha, l’accélération matérielle n’est pas supportée, mais ça reste un projet très prometteur.
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Quand je fais des nuits blanches, chose qui m’arrive souvent, je passe au minimum un quart de ce temps à parcourir des vidéos sur youtube. Et comme j’ai choisi de ne pas installer le plugin ...
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Quand je fais des nuits blanches, chose qui m’arrive souvent, je passe au minimum un quart de ce temps à parcourir des vidéos sur youtube. Et comme j’ai choisi de ne pas installer le plugin flash -pour des raison que vous devez savoir- j’utilise des outils comme cclive ou movgrab pour télécharger les vidéos. Ils remplissent très bien leur fonction quand on veut regarder une seule vidéo, mais dès qu’il s’agit de lancer une playlist, ce n’est plus pratique.
Que faire alors, installer flash player ? plutôt crever, et à part espérer que la playlist soit en .wbm, je n’avais pas d’autre choix que de récupérer les vidéos une par une. Jusqu’à ce que je découvre Youtube video and playlist importer, un script lua pour VLC et que j’ai décidé de partager avec vous.
Tout ce que vous avez à faire, c’est de télécharger ledit script depuis cette page et de le placer dans le dossier ~/.local/share/vlc/lua/playlist
(pour les windowsiens c’est %ProgramFiles%\VideoLAN\VLC\lua\playlist\
). Lancez/relancer vlc et faites CTRL+N, collez l’url de la playlist dans le champ et cliquez sur lire. Une fois que la lecture de la première vidéo est terminé, la deuxième démarrera automatiquement.
Pratique non ?
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Bonne nouvelle pour les heureux possesseurs d’un téléphone Android, Adblock Plus -l’extension Firefox la plus populaire- a été porté pour le système d’exploitation pour mobile de Google. Il ne bloque pas seulement la publicité sur ...
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Bonne nouvelle pour les heureux possesseurs d’un téléphone Android, Adblock Plus -l’extension Firefox la plus populaire- a été porté pour le système d’exploitation pour mobile de Google. Il ne bloque pas seulement la publicité sur les sites web que vous visitez, mais aussi celle affiché dans les applications (généralement gratuites) que vous avez installé, tout y passe : bannière, vidéo, notifications…etc. Yep, ce ne sont pas les développeurs, ni Google qui vont être ravi par cette annonce.
Adblock Plus pour Android marche sur les téléphones non rootés, même s’il est préférable que ce soit le cas, afin de profiter pleinement des fonctionnalités. Quant à son mode de fonctionnement, il reste similaire à celui de l’extension, vous ajouté une liste de votre choix et vous laissez la magie opérer.
Pour installer Adblock Plus sur votre mobile, vous pouvez soit passer par le Google Play et la télécharger (recommandé), soit télécharger .apk sur le site officiel d’Adblock Plus et l’installer manuellement, cependant cette dernière méthode a un inconvénient, vous ne bénéficierez pas des mises à jours de l’application.
Il convient tutefois de souligner, que les publicités affichées dans les sites ou applications qui utilisent des connexions SSL, ne seront pas bloquées.
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Quand j’ai commencé à utiliser Fedora, le moindre que on puisse dire c’est que j’étais impressionné par son gestionnaire de paquet yum, bien qu’au début j’avais quelques réticences dû au fait qu’il mettait à jour ...
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Quand j’ai commencé à utiliser Fedora, le moindre que on puisse dire c’est que j’étais impressionné par son gestionnaire de paquet yum, bien qu’au début j’avais quelques réticences dû au fait qu’il mettait à jour le cache, à chaque fois que je veux installer un paquet (souci résolu en bidouillant un peu le fichier de config). Et si je ne devais citer qu’un seul point fort de yum, c’est sans conteste son plugin presto, qui croyait moi, lorsqu’on a un modem 3G avec une misérable quota de 400 Mo de bande passante, on l’apprécie vite fait.
Et ce n’est qu’un exemple d’un tas d’autres raisons qui font de yum à mon sens, un des meilleurs gestionnaires de paquet. Mais certains développeurs de Fedora ne sont pas du même avis, ou du moins ils pensent que yum a atteint ses limites et qu’il est temps d’explorer des nouvelles voies. C’est pour quoi ils avaient décidé de créer un fork de yum, qu’ils ont baptisé DNF (ne cherchez sa signification, il y en a aucune !). Parmi les objectifs fixés par les développeurs, la réécriture de DNF en utilisant d’autres langages de programmation que python, proposer une API plus claire, l’amélioration des performances et une meilleure résolution des dépendances, grâce à l’utilisation du couple hawkey/libsolv.
Pour l’instant, DNF ne se démarque pas de yum, il permet à peine d’effectuer quelques tâches basiques (mis à jour, installation/suppression/rétrogradation/suppression de paquet, créer un cache de la liste des paquets…).
Pour tester DNF, il faut installer Fedora 18 Alpha que vous pouvez télécharger ici , étant donné qu’il n’est pas intégré dans les dépôts de la version stable. Selon certaines rumeurs, DNF remplacera définitivement yum dans Fedora 19. Info à confirmer.
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