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Step by step this massive snow drawing was trampled into freshly fallen snow by artist Sonja Hinrichsen with the help of 5 volunteers last month at Rabbit Ears Pass in Colorado. I love that a piece so expansive and yet so temporary can be created with a few pairs of well choreographed snow boots. If you like this, also check out the beach drawings of Jim Denevan. The photos above are by Cedar Beauregard and you can see many more here. (via reddit)
Update: It turns out Hinrichsen completed another piece just a week later. Check out the video below.
Update: Want even more snow drawing madness? Don’t miss the work of Simon Beck.

Geokiwi, jeune startup française, lance aujourd’hui son service mobile de petites annonces géolocalisées. Finaliste du dernier LeWeb, la startup portée par ses deux fondateurs, Jérémy et Julien, entend combiner Foursquare, Craigslist et Leboncoin en une seule application. Du vrai Social – Local – Mobile. Alors pari réussi?
Besoin d’une babysitter, de vendre un canapé ou de trouver un partenaire pour jouer au tennis? Geokiwi cherche à créer une plateforme qui permettra de répondre à tous ces besoins. Le concept est simple : exit les petites annonces “scotchées” sur la porte de votre boulanger ou de votre supermarché. Grâce à Geokiwi, on peut déposer son message, le service que l’on propose, sur un mur virtuel qui est consultable depuis la plateforme web ou l’application mobile. Après s’être créé un compte (email ou Facebook Conect), je choisis quel type d’annonce je veux poster, j’écris mon message et je le poste. Votre annonce apparaîtra pour ceux qui sont autour de vous géographiquement. Niveau consultation, c’est aussi assez intuitif. Le flux d’annonces peut être trié de manière chronologique ou géographique et vous pouvez affiner votre recherche par catégories (offres d’emploi, logement, service à la personnes…).
Niveau design, c’est à l’image du concept : simple et sobre. Plateformes web et mobile ont le mérite d’être non chargées et fluides d’un point de vue ergonomique. On regrettera juste le manque de vision par “map” à la Google, qui aurait permis d’avoir une vision globale des annonces postées autour de soi. C’eût été particulièrement intéressant pour chercher un appartement (NDLR : on peut voir une carte mais par annonce).
Individus ou petites entreprises peuvent donc utiliser le service comme un vrai moyen de communiquer localement. Donc oui, le service s’apparente beaucoup à Leboncoin.fr. La partie géolocalisation en plus, le traffic en moins. Car, si le service est plus beau, plus local et potentiellement tout aussi utile que son illustre compétiteur, il lui manque encore du contenu. Manque plus que normal le jour du lancement du service. N’hésitez pas à vous faire votre idée en téléchargeant l’application sur votre iPhone ici ou sur votre android là.

À lire, notre dossier complet sur la grippe aviaire
L'OMS évoque un accord assez fort. En effet,...
Comment une photo devient la plus chère ? Qui prend cette décision ? Sur The Most Expensive Picture, chacun est libre de pousser le concept un peu plus loin, un dollar à la fois.
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Les années passent et Internet reste le terreau parfait de ces projets un peu fous, mêlant happening et argent. Nous nous souvenons tous de la fameuse millions dollar homepage, qui permettait d’acheter un pixel de visibilité pour un dollar.
Le but du jeu sur The Most Expensive Picture (la photo la plus chère) part d’un principe simple, qui monte rapidement en crescendo. Partant d’une mise à prix d’un dollar, n’importe quelle photo peut occuper la page du site. L’unique condition pour détrôner le cliché affiché avec le sien consiste à miser un dollar de plus sur le prix indiqué. Ainsi de suite la photo la plus chère change régulièrement d’apparence et prend de plus en plus de valeur, reléguant alors les précédents clichés dans la catégorie Archive.
Un concept artistique rigolo qui voit s’enchaîner un large éventail de style de photos. Capturés sur Iphone ou avec un Reflex, prises sur le vif ou allègrement retravaillées – avec son lot de chats et de paysages, soyez rassurés – en passant par des clichés minimalistes voire absurdes, comme cette magnifique photo d’Elliot buvant un milkshake un peu salement, pour un montant de 103$. Fascinant.
Ou alors la photo à 23$, sobrement intitulée :
Selon Sebastian Stadler, photographe professionnel et l’un des concepteurs du projet, l’intégralité des fonds doivent servir à la création et l’édition d’un recueil regroupant les 300 premiers clichés. Une belle façon de redonner du poids à l’idée de l’investissement dans une oeuvre artistique dans une ère entièrement tournée vers le “tout gratuit, tout automatique”.
Petite sélection de nos clichés préférés (le reste à découvrir sur le site) :
Sachant que ce type de site offre une certaine visibilité aux photographes, jusque combien de dollars seriez-vous prêts à payer pour être visible ?
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+ Le site The Most Expensive Picture
+ Le twitter du projet TMEP
+ Le site de Sebastian Stadler
Les prions nous rappellent de mauvais souvenirs. Ces protéines mal formées causent en effet l'encéphalopathie spongiforme bovine, ESB, encore appelée maladie de la vache...
Donner une seconde interprétation à des paysages urbains généralement convenus, un jolie concept épurateur que l’on doit à James Reeve.
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La dernière série de James Reeve, Lightscapes, fait parti intégrante de ces concepts simples mais ô combien efficaces : prendre un cliché nocturne et y effacer toute trace d’habitation pour ne garder qu’un seul élément et en faire le thème central – ici, des sources lumineuses des villes.
L’absence de décor rend l’omniprésence de ces fenêtres et autres points lumineux d’autant plus forte, s’en dégage une sensation fantomatique, presque angoissante. Les décors ne sont plus là, la vie elle-même disparait, mais notre imagination comble les vides et dessine naturellement les contours manquants.
D’autres clichés à découvrir sur son site.
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+ le site de James Reeve
+ via