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La prudence est de mise avec l'annonce faite tout récemment par les physiciens des particules élémentaires travaillant au Fermilab avec le détecteur CDF du Tevatron. Les...
Les jeux de culture générale ne sont plus ce qu'ils étaient, avec la possibilité de recourir à ce très cher Google... Partant de cette réflexion, le moteur de recherche lui-même a mis en place un nouveau type d'énigmes, avec des questions plutôt ardues mais dont la réponse se trouvera en effectuant une recherche pertinente. Au contraire des autres jeux de culture générale, l'utilisation de Google est fortement recommandée voire obligatoire, comme l'annonce le blog officiel de la firme de Mountain View. Un jeu original à plus d'un titre, puisque A Google a day est lancé en partenariat avec l'édition papier du quotidien New York Times, qui publiera une question par jour. Ici, il faudra mettre à profit vos capacités à produire une recherche pertinente sur Google, pour trouver la bonne réponse à la question quotidienne.
Les questions seront donc du type : "El Dorado se situe près d'une colline qui n'est pas sur Terre. En quelle année a-t-il été photographié ?". Pas très évident, au premier abord ! Si vous donnez votre langue au chat, un petit clic sur "Show answer" vous donnera la réponse, mais également la manière dont on pouvait la trouver, avec les bons mots-clés à chercher. L'initiative est plutôt intéressante, même si, pour le moment, elle s'adressera aux plus anglophones d'entre vous. Autre point important : A Google A Day utilise une version spéciale du moteur de recherche, intitulée Deja Google, qui recherche uniquement dans les résultats qui existaient avant la création du jeu. Autrement dit, les énigmes et le plaisir de la découverte ne seront pas gâchés par des articles qui parleraient du jeu. Si vous jouez régulièrement à des jeux d'énigmes sur Internet, vous devez connaître ce phénomène : souvent, les premiers résultats sont des forums ou des blogs qui donnent directement la réponse. Avec A Google A Day, pas de risque ! Outre le plaisir du jeu, cette nouveauté est évidemment une jolie mise en avant des possibilités offertes par le moteur de recherche.
Le site A Google a day
Le compte Twitter de A Google a day

On célèbre cette année le centenaire du prix Nobel de chimie de Marie Curie ainsi que l'Année internationale de la...
Ce produit dispose déjà d'un nom très parlant, le IOIO, que l'on peut interpréter de différentes façons :
- IOIO signifiant 1010 une séquence binaire nous montrant le coté électronique numérique.
- IOIO avec le rappel de IO souvent utilisé en électronique pour la connectivité comme Input/Outpout, autrement dit Entrées / Sorties.
- IOIO comme YOYO qui réalise un petit jeu de mot, et une bonne raison pour imager le logo.


- 16 entrées analogiques ( CAN 10 bits)
- 9 sorties PWM
- Jusqu'à 4 liaison série type UART
- Jusqu'à 3 liaison série type SPI
- Jusqu'à 3 liaison série type TWI (compatible I2C)

- DIY : Fabriquer une horloge geek au look de vu-mètres analogiques
- Mouseless : Quand la souris de votre ordinateur devient invisible
- DIY : Un canne pour les malvoyants qui détecte les obstacles par ultrasons
- Flex, un mur interactif qui bouge et change de couleur en fonction de la présence
IOIO : Une carte pour connecter un périphérique Android avec un nouveau monde électronique.
Source : blogspot.com via slashgear.com
Article original publié sur Semageek® | Actualités High Tech, Robot, Électronique, DIY et Arduino..

Facebook cherche-t-il à se présenter comme le champion du green computing ? Avec son projet Open Compute, le réseau social veut partager son expérience dans le domaine de l’optimisation des centres de traitement de données. D’après les chiffres fournis par le réseau social, l’économie en énergie et en coût d’entretien est flagrant.
Après avoir révolutionné les réseaux sociaux, Facebook va-t-il bouleverser les centres de traitement de données ? Cette semaine, le site communautaire a dévoilé le projet Open Compute, une initiative visant à améliorer une infrastructure informatique classique. Pour cela, Facebook veut partager son expérience accumulée lors de la conception de son data center situé dans l’État de l’Oregon.
D’après le réseau social, les performances atteintes par son centre de traitement de données sont impressionnantes. Par rapport à une installation classique, le data center de l’Oregon consommerait 38 % d’énergie en moins et serait 24 % moins cher à bâtir et à entretenir. Une optimisation bienvenue à l’heure où Facebook doit gérer les activités de 600 millions de comptes.
Facebook assure que l’indicateur d’efficience énergétique (PUE ou Power Usage Effectiveness) de son centre de données atteint 1,07, là où d’autres installations atteignent en moyenne 1,5. Le PUE désigne le ratio de l’énergie consommée par le data center par l’énergie effectivement utilisée. Plus ce score est bas, plus l’installation est optimisée et économe en énergie.
Ces prouesses techniques ont été réalisées en partenariat avec différentes entreprises, comme AMD et Intel. Selon le réseau social, d’autres sociétés soutiennent l’initiative d’Open Compute, comme Dell, Skype et Hewlett-Packard. Les meilleures idées pour améliorer la gestion de l’énergie et diminuer les coûts d’entretien seront ensuite accessibles à tous, afin que chacun puisse optimiser son installation.
Dans cette optique, Facebook s’inspire du logiciel libre (open hardware) pour inciter les intervenants extérieurs à contribuer au projet Open Compute. « Notre première étape est de mettre à disposition les spécifications et les schémas techniques. La seconde étape est de travailler avec la communauté pour les améliorer » explique le réseau social.
Reste que les efforts de Facebook en matière de green computing ne trompent pas les écologistes. Dans son rapport 2010 (.pdf), Greenpeace a épinglé le site communautaire sur l’approvisionnement énergétique de son centre de traitement de données de l’Oregon. Pour l’ONG internationale, il ne suffit pas d’avoir un faible indicateur d’efficience énergétique. Il faut aussi l’alimenter avec des énergies propres et renouvelables.
Or Greenpeace a tancé Facebook pour avoir choisi le fournisseur d’électricité PacificCorp, « qui obtient la majorité de son énergie de centrales alimentées en charbon« . Les efforts ne doivent donc pas être uniquement réalisés en aval, en améliorant l’infrastructure technique des centres de données. Il faut aussi s’assurer en amont que l’approvisionnement énergétique n’aggrave pas l’empreinte carbone.
Filed under: Actu Tagged: Facebook, Greenpeace, Open Compute, Power Usage Effectiveness

David.Keochkerian {OFF} a posté une photo :
Compo en couleur et avec un personnage d'une compo que j'avais posté en B&W!
12:31 is a photographic series by Croix Gagnon and Frank Schott. In 1993, a convicted murderer was executed. His body was given to science, segmented, and photographed for research. Croix and Frank used that footage to create these 7 photographs. An animation of the 1871 slices was played fullscreen on a computer, which was moved around by an assistant while being photographed in a dark environment. The resulting images are long-exposure “light paintings” of the entire cadaver. Stunning work! Prints are for sale for $700 and all proceeds benefit Amnesty International.
found at triangulation blog

En partenariat avec l'association FDN fournisseur d'accès Internet (et tout Internet) et le service d'accès avec anonymat No-Log, LinuxFr.org travaille actuellement sur le premier prototype de box décentralisante à dalle tactile (entièrement à base de logiciels libres, sous AGPLv3, cela va de soi).
Mais qu'est-ce donc ? Une vraie révolution : une box d'accès Internet, offrant un vrai accès décentralisé (type informatique en nuage) et toutes les fonctions utiles à l'heure des nombreuses lois sécuritaires et atteintes à la neutralité du réseau ; le concept est proche de la FreedomBox évoquée précédemment ici-même, et avec laquelle elle sera d'ailleurs compatible. La DLFPbox offre par ailleurs un accès direct à LinuxFr.org, ses informations et ses différents canaux d'échange (dont la tribune).
Les visuels prévisionnels (un prototype est en cours de réalisation avec une imprimante 3D) :
Côté fonctionnalités matérielles, on retrouve deux prises RJ42 pour permettre de faire une passerelle filtrante entre Internet et votre réseau local, un processeur Sun OpenSparc compatible Arduino - Hackable Devices. Une carte d'extension pour la détection de mouvement type Kinect est dans les cartons. On notera l'absence de wifi bien trop laxiste en terme de sécurité – le choix est résolument wirefull ici – et le pilotage possible via OpenMoko FreeRunner.
Côté fonctionnalités logicielles, on trouve l'accès au (futur) DLFPcloud, un miroir WikiLeaks, un proxy Tor, un accès du DebStore pour des dizaines de milliers d'applications, un serveur Jabber/XMPP multifonction dont chat V²oIP (voix/vidéo via IP), l'extensibilité par plugins via API (large choix de files FIFO et piles PIPO). Les logiciels libres retenus sont des grands classiques : noyau Linux (non GNU Hurd ne tourne pas sur OpenSparc), Busybox, Vlc, parefeu OOo, module PAM-loppsi, Rails 3, etc. On notera le support vidéo HTML5 plein écran et le full HD 1080p (sans DRM), avec un très bon rendu sur la dalle.
Prochainement les premières photos du prototype et des informations complémentaires.
- lien n°1 : L'annonce par FDN
- lien n°2 : PC Inpact : « DLFPbox, un séduisant prototype en avant-première »
- lien n°3 : Framasoft : « Enfin une box libre qui roxe »
- lien n°4 : LoLix: « Recherche concepteur/développeur en embarqué pour box libre »
- lien n°5 : Cio-Online : « Une solution pour les entreprises privées d'accès Internet »