via Toutes les actualités : de M.G. avec IDG News Service le 09/03/12
Le mystère autour du Trojan Duqu (de type Stuxnet) s'est renforcé depuis que l'on a appris que sa charge d'attaque aurait été écrite dans un langage de (...)

via Les dernières actualités de Futura-Sciences de webmaster@futura-sciences.com (Futura-Sciences) le 08/03/12
Petite révolution dans l'univers de l'énergie nucléaire ? Le Centre d'étude de l'énergie nucléaire de Belgique a fait fonctionner un réacteur nucléaire au plomb nommé Guinevere. Il est piloté par un accélérateur de particules (construit par le CNRS). Si celui-ci s'arrête, le réacteur s'éteint. La sécurité est donc au rendez-vous. Par ailleurs, les déchets produits seraient beaucoup moins polluants. Certains arguments antinucléaires pourraient prendre...

L'intelligence artificielle de Watson au service de la banque Citigroup embauche le super-ordinateur d'IBM La troisième banque américaine Citigroup a décidé de faire appel à l'intelligence artificielle du superordinateur d'IBM, Watson. D'après un communiqué d'IBM, Citigroup devrait utiliser Watson « pour analyser les besoins des clients et les opportunités financières qu'il est possible de leur proposer ». Watson devrait intégrer Citigroup en utilisant le Cloud Computing et interviendra entres autres « dans la gestion des outils bancaires, le risk management et le suivi des clients ». Selon les ingénieurs d'IBM, « sa vitesse et sa précision pourraient rapid...

via sebsauvage.net le 28/02/12

Haha, très drôle: Twitter va vendre des accès complets à ses archives, c'est à dire à la totalité de vos Twitts passés, ce qui inclue également votre position géographique au moment de chaque Twit.

Et n'oubliez pas que l'appli smartphone de Twitter pique également tout votre carnet d'adresse (noms, emails, n° de téléphone). Vous imaginez les possibilités ? Vous êtes une marchandise juteuse pour Twitter, qui va être vendue aux firmes de marketing pour faire des analyses de marché.

Vive le Web 2.0 !


EDIT: Un journaliste du journal The Nation vient de découvrir ce que j'avais signalé il y a 3 ans: Facebook se réserve le droit d'exploiter commercialement, à vie, tout ce que vous y mettez, y compris des photos de vous, sans la moindre rétribution.

via LinuxFr.org : les dépêches de thamieu le 29/02/12

Le Raspberry Pi est un ordinateur dont on a pas mal parlé il y a un an. À l'époque, David Braben – déjà connu pour avoir conçu le jeu vidéo Elite – s'était fait remarquer en présentant un prototype de cet ordinateur… de la taille d'une clé USB. Il s'agissait à l'époque d'un processeur ARM pris en sandwich entre un connecteur USB et un connecteur HDMI, dont le prix de vente ciblé devait être inférieur à 25 $.

Plus d'information en deuxième partie.

Sommaire

La fondation Raspberry Pi

La fondation Raspberry Pi est une organisation à but non lucratif.

Eben Upton a constaté l'évolution des candidats à l'université de Cambridge. Les candidats initialement passionnés par la programmation ont été remplacés, année après année, par des candidats ayant au mieux pratiqué la conception de site web, parfois même pas cela. Le constat est d'autant plus amer que le nombre de candidatures s'amenuisait avec le temps.

Avec ses collègues de l'université, il a identifié quelques-unes des causes de ce changement du rapport à l'informatique. Notamment, le phagocytage de l'enseignement des technologies de l'information par des cours d'utilisation de logiciels comme Word ou Excel. Plus étonnant, l'avènement des PC et consoles de jeu au détriment des machines Amiga ou Commodore 64 sur lesquels la génération précédente avait appris à programmer.

L'objectif de l'association est donc d'amener les jeunes à la programmation au moyen d'un ordinateur attractif aussi bien par son aspect ludique (lecture de vidéos de qualité Blu-Ray) que par son prix (compter 25 $, le recyclage d'une carte SD de 2 Go et d'une alimentation).

Bien évidemment, les écoles sont des lieux dans lesquels la fondation espère particulièrement diffuser l'ordinateur qu'elle a conçu.

Caractéristiques

Tous les composants tiennent sur un circuit imprimé de la taille d'une carte de crédit : 85.60 mm x 53.98 mm x 17 mm, pour un poids total de 45 g.

La puce embarquée est une Broadcom BCM2835. Elle intègre un processeur ARM1176JZFS cadencé à 700 MHz, ainsi qu'un processeur graphique Videocore. Ce dernier est capable de décompresser les vidéos codées en H.264, pour une résolution « Full HD » (1080p30, soit une résolution de 1920 par 1080 pixels à une vitesse de 30 images par seconde). Pour la 3D, les bibliothèques OpenGL ES2.0 et OpenVG sont fournies.

La fondation compare la puissance du Pi à une Xbox 1ère génération pour la partie graphique, et à un Pentium 2 cadencé à 300 MHz pour un usage généraliste.

Deux déclinaisons du Raspberry Pi sont commercialisées. La seconde est mieux dotée, car elle bénéficie d'un port Ethernet 100 Mb/s. Si le modèle A est très orienté vers la programmation et l'usage en mode console, voire en lecteur multimédia, le modèle B ouvre des perspectives intéressantes pour un usage de serveur hébergé à domicile.

La consommation électrique devrait être de l'ordre de 2,5 W pour le modèle A, contre 3,5 W pour le modèle B, en l'absence de périphériques.

Logiciels

Au regard de ces caractéristiques, le choix des logiciels est un peu plus contraignant que dans le monde des PC. D'une part, à cause de la faible puissance de calcul et d'autre part, parce qu'il s'agit d'une architecture ARM avec son lot d'inconvénients : pas d'auto-détection du matériel, quelques binaires opaques, une partie des spécifications gardée secrète…

La fondation propose deux distributions GNU/Linux spécialement compilées pour cet ordinateur. Fedora 13 (la version 15 est attendue pour bientôt) et Debian 6. Si ces distributions sont libres, il faut cependant noter que la partie bootloader et toute la partie GPU (OpenGL et accélération vidéo) ne sera fournie que sous forme binaire et reste propriétaire.

Les images de ces systèmes sont téléchargeables grâce à des torrents ou en lien direct par http.

Ce que vous n'aurez pas avec le Raspberry Pi

Pour tirer les coûts vers le bas, le Raspberry Pi est dépourvu de bouton d'alimentation. L'allumage et l'extinction se feront donc en (dé)branchant le câble d'alimentation qui n'est d'ailleurs pas livré. Eh non. De toute façon, il n'aurait pas suffi à démarrer de système d'exploitation, une carte SD non fournie étant requise pour l'amorçage. Il faudra insérer une carte SD sur laquelle vous aurez copié l'une des images disponibles au téléchargement. Par commodité, la fondation propose aussi à la vente des cartes pré-installées. Les 10 000 premiers Raspberry Pi seront livrés nus, dépourvus de boîtier. Toutefois, l'ajout d'un boitier est prévu pour les prochaines livraisons.

Comment se le procurer

Les préventes ont commencé ce matin à 6:00 GMT (donc 7:00 en France), sur les sites web de Premier Farnell et RS Components. En quelques minutes, les deux fournisseurs ont été débordés de demandes, et il peut être assez difficile d'accéder à leurs sites web.

Attention: Le site web de la fondation Raspberry Pi a basculé en statique ce matin, en prévision de cette affluence. L'inconvénient notable est que les liens de téléchargement ne marchent plus pour l'instant. Gageons que cela reviendra à la normale lorsque ce petit moment de folie se sera atténué !

Bref, un franc succès pour le lancement du Raspberry Pi, même s'il sera un peu frustrant pour certains de ne pouvoir mettre la main dessus, dès le jour de sa sortie !

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via Lense.fr » BLOG de Clemence le 28/02/12

Ah la Ville: lieu impersonnel et sans pitié, terre d’individualisme où trône le méchant urbanisme et ses vilaines tours grises…

La jeune photographe américaine Samantha Schubert ne s’avoue pas vaincue: elle a décidé d’apprendre à l’aimer, sa ville. Et pour ça, elle se jette en plein dedans.

Ca se passe à Baltimore, et ça s’appelle simplement Learning To Love The State I’m In.

…………………………

Conquérir les paysages“, “Le nid“, “Le bloc“: les titres des différentes séries de Sam Schubert disent bien ce qui préoccupe cette étudiante en photo au Maryland Institute College of Art.

Ayant grandi au milieu des forêts du nord de l’état de New York, elle se retrouve étrangère à Baltimore mais avec un sens de l’observation aiguë, un regard pointu sur les changements de l’environnement. Les paysages de la ville se façonnent et se modifient sans cesse. Comment s’approprier l’espace qui nous entoure? Comment “faire corps” avec l’extérieur?

Dans l’intimité de son appartement ou devant les barres d’immeubles , elle ajoute des corps qui se contorsionnent, s’étirent, sautent, disparaissent.  En jouant avec l’architecture, les angles, les perspectives,  Sam Schubert redonne des courbes et de la souplesse aux environnement (trop?) géométriques.

Et un peu de poésie dans ce monde de brutes.

 

 

 

 

Allez à vous: montrez-nous comment vous aimez votre ville.

 

via

+ le site de Sam Schubert

via {sciences²} de sylvestre Huet le 29/02/12
L'Institut de Radioprotection et de sûreté nucléaire a fourni hier quelques informations du rapport qu'il doit publier pour le premier anniversaire de la catastrophe nucléaire de Fukushima Dai-Ichi.

via iPhoneSoft de <a href="/redacteur/eric"><img width="50" src="/images/redacteurs/eric.gif" title="voir les articles de Eric Vassille" alt="Eric Vassille"/></a> le 29/02/12

food-reporter-1Vous connaissez peut-être déjà Food Reporter (App, 4.5 étoiles - 57 votes, VF, 5.9 Mo, Lien App Store), le réseau social culinaire qui permet de partager ce que vous mangez au restaurant et à la maison.
...

via L'actualité Greenpeace France de Greenpeace France le 07/03/12

Depuis cet été, Greenpeace actualise son stress-test des candidats à la présidentielle. Les discours ont évolués. Certains candidats ont disparu, renoncé, se sont rangés aux côtés d’autres … La campagne a commencé.


Présidentielle : Best-of coffrets gastronomiques par gpfrance

Le Président, désormais officiellement candidat à sa succession, vient de recevoir un questionnaire de Greenpeace, auquel il n’avait pas répondu lors du premier envoi au mois d’Août. Peu de doutes, peu d’attentes : les prises de positions publiques du président-candidat ont été très claires sur la question nucléaire…

Le débat sur l’énergie semble s’enliser et les positions quelques peu figées

A droite, le Président candidat de l’UMP a décoché une “séquence médiatique” visant à affirmer son indéfectible soutien à la filière nucléaire française : c’était d’abord le jeudi 9 février à Fessenheim avec une visite durant laquelle il a définitivement fermé la porte à tout débat avec les Français (position regrettable en pleine période de campagne électorale, l’électeur étant d’emblée exclu) sur la place occupé par le nucléaire en France. Avec le candidat Sarkozy version 2012, près d’un an après le début de la catastrophe nucléaire de Fukushima, on est dans la négation absolue du risque d’accident nucléaire en France.

Deuxième phase de la séquence, la sortie le lundi 13 février du rapport Energie 2050 qui préconise rien moins que la prolongation de la durée de vie de nos vieilles centrales de 20 ans… en arguant du fait que c’est l’option la moins onéreuse (alors même que personne aujourd’hui ne connait le coût engendré par une telle prolongation, et alors même que seule l’ASN est autorisée, en toute indépendance, à autoriser cette prolongation).
Nicolas Sarkozy, plus rétrograde que jamais dans ce stress test, se résume à la caricature de lui-même.

Le flou règne en maître sur le programme socialiste

Le candidat socialiste prête le flan à la critique sur son programme énergétique : il prône à tout va la transition énergétique et continue de dire qu’il veut réduire la part du nucléaire de 75 à 50% d’ici à 2025. Mais comment compte-t-il faire ? Mystère… Il passe son temps depuis l’épique négociation entre le PS et EELV à rassurer la filière nucléaire en disant ça et là qu’il ne fermera que la centrale de Fessenheim et qu’il ira au bout du chantier de Flamanville. Mais l’équation ne tient pas … Fermer deux réacteurs pendant son quinquennat tout en mettant en service l’EPR (s’il fontionne un jour !), pour atteindre l’objectif de réduction d’ici à 2025, ça ne marche pas…
Un pas en avant, deux pas en arrière… c’est la sensation qu’on peut avoir quand on suit de près les déclarations et les déplacements du candidat à la Présidence.

En bref, le candidat Hollande devrait préciser sa pensée, et clarifier ses projets car ils ne rassurent réellement ni le secteur nucléaire, ni les millions de français qui désirent que la France s’oriente concrètement vers la transition énergétique en amorçant une sortie du nucléaire.

Le Front de Gauche ne se positionne pas

Côté Front de gauche, Jean-Luc Mélenchon reste sur la proposition d’un référendum. Une façon futée de dépasser les oppositions entre le Parti de Gauche, anti-nucléaire et le Parti communiste, pro-nucléaire. Il est temps que les Français aient voix au chapitre en matière de nucléaire. Et les questionner enfin sur leur vision de l’avenir énergétique de la France provoquera un débat nécessaire et sans précédent en France, après 40 ans de propagande en faveur de l’atome.
Mais quelle sera la position défendue par le Front de gauche dans le cas d’un référendum? Si deux partis alliés ne parviennent pas à résoudre leurs différends doivent-ils se défausser sur les Français sans se positionner clairement?

Au centre, on ne sait pas…

Coté François Bayrou, on ne sait pas. Le candidat du Modem pose et se pose des questions : “est-ce qu’il existe un interrupteur pour éteindre un réacteur en cas d’accident” ? “Est-ce qu’il existe une solution durable pour traiter les déchets nucléaires”? Pour lui, le nucléaire doit être considéré comme une énergie de transition c’est à dire qu’on doit apprendre un jour à s’en passer… Quand? Aucune idée. Comment ? On ne sait pas. Rien de plus…

Du coté de l’extrême droite :

Nous avons décidé de ne pas nous adresser à la candidate du parti d’extrême droite pour ce stress test, considérant que ce parti porte des valeurs en totale opposition avec celles revendiquées par Greenpeace : la solidarité internationale, la démocratie, la désobéissance civile…

Mais les récentes déclarations de la candidate nationaliste appellent malgré tout un commentaire. Le programme énergétique du FN est le fruit du degré zéro de la réflexion en matière de politique énergétique. Le Front National dans le même temps questionne l’impact de l’activité humaine sur l’accélération du dérèglement climatique, et explique qu’il faudra un jour sortir du nucléaire, sauf que cela est impossible. Les énergies renouvelables ne sont que du bricolage.. Et l’éolien… c’est moche et ça marche pas. On aurait attendu une argumentation un peu plus sérieuse de la part d’une candidate à l’élection présidentielle.

Retrouvez les positions des candidats en matière énergétique. Suivez leurs atermoiements et interpellez-les !